Leslie Re14 Souvenirs Entravée Et Enculée
Leslie RE14 Les récits érotiques
Souvenirs Entravée et enculée
Invitée par ma copine Claire pour son trentième anniversaire, je me suis, pour loccasion, faite la plus jolie possible, ce qui dans mon cas nest pas très difficile car daprès les personnes qui me connaissent je suis, comme il disent, un très joli petit bout de femme et les hommes qui me croisent dans la rue se retournent volontiers
En effet, jai vingt-six ans et je suis brune aux cheveux très courts, petit bout de femme comme ils disent, pour sûr, avec mon mètre soixante-deux, effectivement je ne suis pas grande, un joli visage avec des yeux bleu clair me donnant un regard dacier, intriguent ceux qui le croise. Ma silhouette mince, à la limite anorexique, étonne ceux qui me voient nue, mes côtes un peu apparentes sous ma petite poitrine dadolescente me donnent un air fragile, mes seins aux petites aréoles foncés détonnent sur ma peau blanche et lorsque le regard descend on peut distinguer les os de mon bassin qui saillent légèrement de mon corps et aussi mes hanches étroites en feraient presque oublier mon pubis glabre aux lèvres brunes, quarante-cinq kilos cest ce qui me donne ce côté fragile et pour terminer la description jai des fesses juste légèrement bombées sans pour cela être plate. En fait habillée de façon adéquate, je pourrais très bien passer pour un garçon.
Donc, pour cette occasion javais revêtu un pantalon moulant en cuir et un corsage blanc, style corsaire, grand col et des manches amples serrées au poignet et de jolis escarpins noirs aux talons de huit centimètres. Pour les dessous javais mis un string noir ouvert mais pas de soutien-gorge.
Claire est une collègue de boulot dans le cabinet davocat ou nous travaillons, étant associées avec un autre avocat comme nous, notre situation financière nous met à labri du besoin.
Nous nous entendons bien et sommes restées très liées même après notre liaison qui a durée quelque temps.
Il est certain que ce soir jai trop bu, que du champagne lors de lapéritif et ensuite pendant le repas, puis encore après plusieurs coupes, si-bien quaprès je ne men souviens plus, jai dû mendormir
Je pensais mêtre endormie ivre dans la voiture qui me raccompagnait chez moi, mais en reprenant peu à peu conscience, je me retrouve dans une pièce, avec toute sorte dattirails dont je soupçonne lutilisation, entravée sur une croix de Saint-André, chevilles et poignets immobilisés par des sangles, inutile de préciser que je suis nue.
En regardant je vois le spectacle dune femme et un homme dans lescalier qui mène au premier étage, elle est nue cambrée une main sur chaque rampe, ses genoux fléchis et ses jambes écartées, lhomme se tient debout derrière elle, bien en appui sur ses jambes et la besogne vigoureusement ses mains sur mes hanches de la femme.
Il la lime comme un fou, en haletant fortement pendant quelle criait fort en disant quelle jouissait comme une salope
Le fait dêtre attachée sur cette croix sans pouvoir bouger tout en faisant naître en moi la colère, réveillait en moi la crainte mêlée à lappréhension de ne pas savoir ce qui allait suivre.
Dans la situation dans laquelle je me trouvais, nul doute quon allait r de moi et profiter de mon corps offert sur cette croix, les jambes largement écartées laissant mes orifices largement ouverts et disponibles
Un homme sapprocha et aussitôt me dit :
- Vous êtes là pour notre plaisir, offerte à notre merci, alors soyez docile !
Puis il disparut de mon champ de vision, javais les bras tendus au-dessus de ma tête, mais sans douleur aux poignets, la tête immobilisée par un collier qui devait être fixé à la croix sur laquelle jétais entravée et les chevilles solidement fixées.
Lhomme et la femme de lescalier avaient disparus et je restais ainsi, seule dans la pièce, quelques instants quand dans mon dos jentendis une porte souvrir
- Vous êtes très patiente, me soupirant homme dans mon dos, venant près de moi et me caressant les cheveux
Puis lhomme prit le contrôle de mon corps, ses doigts se mirent à fouiller mon intimité, puis un gode les remplaça. Les jambes écartées au maximum, lhomme savait y faire, et prenait du plaisir à me voir commencer à apprécier ce quil me faisait, mais les sensations de plaisir que ressentaient mon corps montaient malgré ma volonté
Il dosait mon plaisir en contrôlant les mouvements du gode en moi à la limite de lorgasme, me laissant toujours en manque, afin que je sois encore en demande pour quil me pervertisse juste linstant daprès et pour en avoir davantage. Il devait se servir de différents godes de plus en plus gros, car je sentais ma chatte se remplir de plus en plus au fur et à mesure des entrées en moi, je nen pouvais plus et lenvie dune queue naquit en moi.
Je fus rapidement exhaussée il me rentra sa grosse queue en moi, me remplissant complètement, chaque mouvement de son sexe sirradiait dans mon ventre, mettant ma vulve en feu, et sans vraiment le désirer, jai joui rapidement, tandis que lui continuait à me pistonner allant même me faire jouir une deuxième fois.
Etant trempée de mes jouissances il neut aucun mal à opérer de la même façon avec mon petit tous, il me goda lanus pendant quelques temps, mintroduisant gode après gode pour me dilater consciencieusement, puis mencula sans un mot.
Puis une fois quil se fut retiré un sexe brûlant et humide se collait déjà sur mon anus, me pénétrant lentement. Une douleur monta rapidement, puis sestompa quand le sexe ressortit. De nouveau il entrait pour ressortir immédiatement dès quun spasme se produisait. Ainsi, il sacheminait doucement dans mon conduit, entre douleur et brûlure, mettant du lubrifiant que je sentais couler le long de mon sillon.
Lhomme qui tentait de menculer devait être super bien monté, car je navais jamais eu si mal, jétais défoncée et surtout je sentais bien que ça ne rentrerait pas, mon orifice anal bien trop petit pour ce pieu qui déjà mexplosait lanus. Un cri de douleur sortit de ma bouche, le sexe se stoppa et fit marche arrière. Restant à lentrée de ma rosette, essayant de faire sa place, de creuser mon sillon par de petits coups répétés. Je sentais que je commençais à my habi, mais quand il reprit sa course plus en avant, les larmes me montèrent aux yeux tandis que ce pieu entrait inexorablement en moi.
Mes cris redoublèrent quand il mencula et ce pendant un long moment, je me sentais si fragile car le membre qui était en moi était énorme
Après qui eu jouit au fond de mes entrailles, il se retira et je cru que sen était fini de mes souffrances, mais bien au contraire un autre prit la place libérée sans mon trou grand ouvert, puis un autre, combien se sont succédé ainsi dans mon antre intime je ne pourrais le dire car à un certain moment jai perdu connaissance.
Toujours est-il quune fois libérée seul mon anus douloureux me rappela ce sui venait de se passer, il fallut trois jours pour que je ne souffre plus et je me suis jurer de ne plus boire autant
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!